Vousrédigerez une synthèse ordonnée en 300 mots des trois textes ci-dessous :Texte 1 : Voltaire, Candide, 1759.Texte 2 : Stendhal, La Chartreuse de parme, 1839.Texte 3 : Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte1 : Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une

Gocéné, habitant kanak d’une île de Nouvelle-Calédonie, tente de rejoindre sa famille à Tendo, une ville du Japon, accompagné d’un blanc, Caroz. Arrêtés par des rebelles japonais, Gocéné va leur raconter son histoire et sa rencontre avec Caroz. C’était en 1931. Avec certains de ses amis et habitants de son village, ils avaient été désignés pour partir en France, à Paris, pour l’ exposition coloniale ». Après un voyage épouvantable pendant lequel certains sont morts de la malaria, il est arrivé au zoo de Vincennes avec Minoé, sa promise et Badimoin, son ami. Là, ils sont parqués comme des animaux et doivent montrer aux Français comment ils sont censés vivre chez eux, dans son village presque nus, ils sont montrés comme des anthropophages cannibales, et doivent avoir l’air de sauvages. Le lendemain, les crocodiles du zoo sont morts et Grimaut et Pontevigne doivent trouver une solution. Certains indigènes, dont Minoé, sont alors emmenés sous le prétexte de visiter Paris, pour être échangés contre des crocodiles avec un zoo d’Allemagne. Pendant la nuit, Gocéné et Badimoin s’échappent du zoo et partent dans Paris à la recherche de Minoé que Gocéné avait promis de protéger. Mais rapidement, ils se retrouvent perdus et recherchés par la police. Ils sont poursuivis et obligés de fuir dans la jungle de pierre » dans un café, puis dans le métro. Ils rencontrent alors Fofana qui va leur apprendre qu’un train partira le lendemain pour Frankfurt avec des indigènes à bord. Ils travailleront dans un cirque. Arrivés trop tard à la gare de l’Est, ils ont trois jours à patienter avant le prochain train. Ils sont toujours pourchassés par la police et vont être cachés un temps par Fofana. Puis finalement, ils décident de retourner au zoo de Vincennes pour obtenir plus d’informations. Profitant d’une émeute anticolonialiste, ils pénètrent dans le bureau du directeur et apprennent la vérité leurs amis ont été échangés contre des crocodiles. Ils sont partis pour le cirque Höffner à Frankfurt, en Allemagne. Exigeant le retour de leurs amis, l’alerte est donnée au zoo et alors que Gocéné et Badimoin tentent de fuir, un policier français tire sur eux Badimoin est tué. Un second policier tente de tuer aussi Gocéné, mais un visiteur français s’interpose c’est Caroz. Gocéné est condamné à 15 ans de prison et Caroz à 3 mois. L’histoire de Gocéné s’arrête ici, et il explique alors que Caroz, c’est l’homme blanc qui l’accompagne. Après la mort de sa femme, en France, il a souhaité retrouver Gocéné il est resté vivre en Nouvelle-Calédonie ensuite. Quant à Minoé, c’est elle qu’il doit aller rejoindre à Tendo.

EurêkaVal-de-Marne. Professionnel. Afficher ou masquer le menu "Professionnel" Petite enfance. Maternelles et élémentaires . Centres de loisirs. Collèges et Lycées. Connexion. Se pré-inscrire . Identifiant. Mot de passe. Mot de passe oublié. Saut de ligne. Recherche avancée. Le niveau 1 de la médiathèque André Malraux n'est pas accessible mardi 16 et mercredi 17 août en raison des " L'ombre du désastre n'est pas près de s'effacer. " Soixante-dix ans plus tard, l'intuition de Marc Bloch se vérifie plus que jamais 1940 marque... Lire la suite 22,30 € Neuf Ebook Téléchargement immédiat 15,99 € Grand format Expédié sous 3 à 6 jours 22,30 € Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 5 septembre et le 6 septembre " L'ombre du désastre n'est pas près de s'effacer. " Soixante-dix ans plus tard, l'intuition de Marc Bloch se vérifie plus que jamais 1940 marque bien le trauma majeur des Français avec lequel ni le naufrage impérial à Waterloo, ni la guerre de 1870 ne peuvent rivaliser. Spécialiste consacré de la Seconde Guerre mondiale et conseiller historique d'oeuvres cinématographiques et télévisées, Jean-Pierre Azéma s'est fait le chroniqueur de cette descende aux enfers. De la signature du pacte germano-soviétique aux premiers élans de la Résistance, de la bataille des Flandres à Mers el-Kébir ou au Blitz de Londres, des hôtels de Vichy aux campements de fortune des " exodiens " et des prisonniers, Jean-Pierre Azéma réussit la gageure de marier, en 30 chapitres, le récit haletant de ces 500 jours qui ont défait la France avec les derniers acquis de la recherche historique. A la fois témoin, historien et enfin écrivain de cette année terrible, Jean-Pierre Azéma est l'un des rares capables de restituer le souffle d'une époque. 14 JUILLET 1939 HONNEUR A LA REPUBLIQUE, AUX TOMMIES, ET AUX TIRAILLEURS AOUT 1939 LE PACTE QUI EBRANLA LE MONDESEPTEMBRE 1939 LES FRANÇAIS REPRENNENT LEUR BARDASEPTEMBRE 1939-AVRIL 1940 LES PARADOXES DE LA DROLE DE GUERREAVRIL 1940 L'EQUIPEE DE NARVIKMAI 1940 LES PANZERS FRANCHISSENT LA MEUSE28 MAI 1940 L'IMBROGLIO BELGE26 MAI-4 JUIN 1940 DUNKERQUE, SORTIR DE LA NASSEJUIN-JUILLET 1940 LA GRANDE PEUR, L'EXODEMAI-JUIN 1940 PAUL REYNAUD UN CHEF DE GUERRE CONTESTE Date de parution 31/03/2010 Editeur ISBN 978-2-213-65452-2 EAN 9782213654522 Présentation Broché Nb. de pages 477 pages Poids Kg Dimensions 15,5 cm × 23,5 cm × 3,2 cm Biographie de Jean-Pierre Azéma Professeur émérite à Sciences Po, Jean-Pierre Azéma a notamment publié un Jean Moulin qui fait autorité. Lesdeux généraux avaient attentivement étudié la plaine de Mont-Saint-Jean, dite aujourd’hui plaine de Waterloo. Dès l’année précédente, Wellington, avec une sagacité prévoyante, l’avait examinée comme un en-cas de grande bataille. Sur ce terrain et pour ce duel, le 18 juin, Wellington avait le bon côté, Napoléon le mauvais
2,50€ Bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ 2,50€ Bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ 2,50€ Très bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ 5 autres livres à partir de 2,00€ Description Un tirailleur en enferLivre d'occasion écrit par Yves Pinguillyparu en 2008 aux éditions Nathan, Nathan Jeunesse, Les romans de la Fetkann ! de la Jeunesse 200412 ANS ET +, ROMANS, TEMOIGNAGES & CO, ROMANS, TEMOIGNAGES & CO132 pages, BrochéCode ISBN / EAN 9782092111666La photo de couverture n’est pas contractuelle. En lire plus Auteur Yves pinguilly Editions Nathan Année 2008 Collection Les romans de la mémoire Marque_editoriale Nathan Jeunesse Reliure Broché Langue Français Format Moyen ISBN 9782092111666 Options de livraison Plusieurs options de livraison vous seront proposées lors de la finalisation de votre achat selon le vendeur que vous aurez sélectionné. La plus grande librairie solidaire en ligne Dans la librairie de Label Emmaüs, vous avez à disposition plus d'un million d'ouvrages, sélectionnés et triés avec soin par des salariés en parcours d'insertion professionnelle. 100% des livres sont d'occasion ! À chaque livre que vous achetez, vous contribuez au réemploi et à l'insertion professionnelle. Vous favorisez aussi l'accès à la culture pour toutes et tous. Les Garanties Label Emmaüs Paiement sécurisé Label Emmaüs vous procure une expérience d’achat en ligne sécurisée grâce à la technologie Hipay et aux protocoles 3D Secure et SSL. Satisfait ou remboursé Nous nous engageons à vous rembourser tout objet qui ne vous satisferait pas dans un délai de 14 jours à compter de la réception de votre commande. 2,50€ Bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ 2,50€ Bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ 2,50€ Très bon état Le Lien Livraison à partir de 3,00€ PRIX ÉTAT VENDU PAR FERMER 7 autres livres à partir de 2,00€ VOIR Ça va vous plaire Voici une sélection de produits similaires
Un*tirailleur en enfer : Verdun 1916 / Yves Pinguilly. - Paris : Nathan, DL 2008. - 1 vol. (133 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm - portail de services pour l'utilisateur de la bibliothèque . sebina, you, services, bibliothèque, utilisateur. Aller à la recherche; Aller au contenu principal; Aller à la colonne de gauche; Aller à la colonne de droite; Aide. Mon compte Nom d'utilisateur Mot Vous rédigerez une synthèse ordonnée en 300 mots des trois textes ci-dessous Texte 1 Voltaire, Candide, 1759. Texte 2 Stendhal, La Chartreuse de parme, 1839. Texte 3 Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte1 Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp, il prit le parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles, éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs ; d’autres, à demi brûlées, criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés. Candide s’enfuit au plus vite dans un autre village il appartenait à des Bulgares, et les héros abares l’avaient traité de même. Candide, toujours marchant sur des membres palpitants ou à travers des ruines, arriva enfin hors du théâtre de la guerre, portant quelques petites provisions dans son bissac, et n’oubliant jamais Mlle Cunégonde. Voltaire, Candide, 1759 Et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres étaient vêtus de rouge. Une circonstance lui donna un frisson d’horreur ; il remarqua que beaucoup de ces malheureux habits rouges vivaient encore ; ils criaient évidemment pour demander du secours, et personne ne s’arrêtait pour leur en donner. Notre héros, fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. L’escorte s’arrêta ; Fabrice qui ne faisait pas assez d’attention à son devoir de soldat, galopait toujours en regardant un malheureux blessé. — Veux-tu bien t’arrêter, blanc-bec ! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s’aperçut qu’il était à vingt pas sur la droite en avant des généraux, et précisément du côté où ils regardaient avec leurs lorgnettes. En revenant se ranger à la queue des autres hussards restés à quelques pas en arrière, il vit le plus gros de ces généraux qui parlait à son voisin, général aussi ; d’un air d’autorité et presque de réprimande, il jurait. Fabrice ne put retenir sa curiosité ; et, malgré le conseil de ne point parler, à lui donné par son amie la geôlière, il arrangea une petite phrase bien française, bien correcte, et dit à son voisin — Quel est-il ce général qui gourmande son voisin ? — Pardi, c’est le maréchal ! — Quel maréchal ? — Le maréchal Ney, bêta ! Ah çà ! où as-tu servi jusqu’ici ? Fabrice, quoique fort susceptible, ne songea point à se fâcher de l’injure ; il contemplait, perdu dans une admiration enfantine, ce fameux prince de la Moskova, le brave des braves. Tout à coup on partit au grand galop. Quelques instants après, Fabrice vit, à vingt pas en avant, une terre labourée qui était remuée d’une façon singulière. Le fond des sillons était plein d’eau, et la terre fort humide qui formait la crête de ces sillons, volait en petits fragments noirs lancés à trois ou quatre pieds de haut. Fabrice remarqua en passant cet effet singulier ; puis sa pensée se remit à songer à la gloire du maréchal. Il entendit un cri sec auprès de lui c’étaient deux hussards qui tombaient atteints par des boulets ; et, lorsqu’il les regarda, ils étaient déjà à vingt pas de l’escorte. Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles il voulait suivre les autres le sang coulait dans la boue. Ah ! m’y voilà donc enfin au feu ! se dit-il. J’ai vu le feu ! se répétait-il avec satisfaction. Me voici un vrai militaire. » A ce moment, l’escorte allait ventre à terre, et notre héros comprit que c’étaient des boulets qui faisaient voler la terre de toutes parts. Il avait beau regarder du côté d’où venaient les boulets, il voyait la fumée blanche de la batterie à une distance énorme, et, au milieu du ronflement égal et continu produit par les coups de canon, il lui semblait entendre des décharges beaucoup plus voisines ; il n’y comprenait rien du tout. Stendhal, La chartreuse de Parme, Livre I, chapitre III, 1839 Texte 3 Moi d'abord la campagne, faut que je le dise tout de suite, j'ai jamais pu la sentir, je l'ai toujours trouvée triste, avec ses bourbiers qui n'en finissent pas, ses maisons où les gens n'y sont jamais, et ses chemins qui ne vont nulle part. Mais quand on y ajoute la guerre en plus, c'est à pas y tenir. Le vent s'était levé, brutal, de chaque côté des talus, les peupliers mêlaient leurs rafales de feuilles aux petits bruits secs qui venaient de là-bas sur nous. Ces soldats inconnus nous rataient sans cesse, mais tout en nous entourant de mille morts, on s'en trouvait comme habillés. Je n'osais plus remuer. Ce colonel, c'était donc un monstre! A présent, j'en étais assuré, pire qu'un chien, il n'imaginait pas son trépas! Je conçus en même temps qu'il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre armée, des braves, et puis tout autant sans doute dans l'armée d'en face. Qui savait combien, Un, deux, plusieurs millions peut-être en tout? Dès lors ma frousse devint panique. Avec des êtres semblables, cette imbécillité infernale pouvait continuer indéfiniment... Pourquoi s'arrêtaient-ils? Jamais je n'avais senti plus implacable la sentence des hommes et des choses. Serais-je donc le seul lâche sur la terre? pensais-je. Et avec quel effroi!... Perdu parmi deux millions de fous héroïques et déchaînés et armés jusqu'aux cheveux? Avec casques, sans casques, sans chevaux, sur motos, hurlants, en autos, sifflant, tirailleurs, comploteurs, volant,r à genoux creusant, se défilant, caracolant dans les sentiers, pétaradant, enfermés sur la terre comme dans un cabanon, pour y tout détruire, Allemagne, France et continents, tout ce qui respire, détruire, plus enragés que les chiens, adorant leur rage ce que les chiens ne font pas, cent, mille fois plus enragés que mille chiens et tellement plus vicieux! Nous étions jolis! Décidément, je le concevais, je m'étais embarqué dans une croisade apocalyptique. On est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté. Comment aurais-je pu me douter moi de cette horreur en quittant la place Clichy ? Qui aurait pu prévoir, avant d’entrer vraiment dans la guerre, tout ce que contenait la sale âme héroïque et fainéante des hommes ? A présent, j’étais pris dans cette fuite en masse, vers le meurtre en commun, vers le feu… Ça venait des profondeurs et c’était arrivé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de l’enfer, 1932 Synthèse de textes La guerre Note de synthèse rédigée Voltaire, Stendhal et Céline, dans trois textes romanesques mettent en scène des héros apparemment naïfs qui font l’expérience sensible de la guerre, ce qui permet d’en dénoncer l’absurdité et d’en remettre en cause les valeurs. La guerre apparaît d’abord comme une activité initiatique à travers laquelle le personnage apprend la réalité d’un conflit armé. Si Fabrice assiste à la bataille de Waterloo en spectateur émerveillé que la rapidité des événements empêche de saisir correctement la réalité du combat, Candide lui, fait le constat amer de l’atrocité après avoir été amusé par l’apparente harmonie du spectacle des deux armées. De même, Bardamu passe d’une admiration béate pour son colonel à un constat lucide et moqueur de la barbarie de la guerre. Cette prise de conscience conduit à une description de la guerre comme une activité absurde. Fabrice ne perçoit dans la guerre qu’une suite de déplacements accompagnés de déflagrations sans comprendre le sens global du déroulement de la bataille. Chez Voltaire, l’absurdité de la guerre est soulignée par le contraste ironique entre la cruauté de l’affrontement et la noblesse des principes qu’on invoque pour le légitimer. Chez Céline enfin, la guerre n’est rien d’autre qu’une destruction généralisée que Bardamu est incapable de comprendre. La violence et l’incohérence qui caractérisent la guerre débouchent sur la remise en question de l’héroïsme. Chez Stendhal, la démystification des héros passe par la description triviale de leur physionomie et surtout de leur action, réduite à des mouvements désordonnés, enfoncés dans la boue et enveloppés de fumée. Voltaire assimile le combat à un carnage héroïque avant de dénoncer les crimes et les viols des prétendus héros. Céline enfin dénigre les fous enragés, armés jusqu’aux dents, et trouvant du plaisir dans la destruction. 304 mots. LeVieux Nègre et la Médaille Dans une langue chaleureuse et piquante, Ferdinand Oyono brosse le portrait de Meka, un « vieux nègre » que l’administration a décidé de récompenser pour son dévouement pour la France. Les truculentes aventures de cet homme, humble, mais non dépourvu de malice, sont un régal pour les sens et une subtile critique de la domination coloniale. Une
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un tirailleur en enfer résumé de chaque chapitre